[ ! Cet article « #21 Rend-contre avec Thereï » s’inscrit dans le cadre de l’écriture d’une petite histoire : LouPiote]
Je vais te parler de ma rencontre avec Thereï (qui ?), ayant eu lieu en Agartha. Il faut savoir que l’on y rencontre plusieurs sortes d’êtres, toutes forcément plus évoluées (vibratoirement, spirituellement, etc.) que les espèces de la surface : animaux, hommes-végétaux, humains, beaucoup d’êtres hybrides, tous très beaux ! Pas beaux comme nos canons de beauté, mais beaux dans ce qu’ils dégagent : une bienveillance incroyable, un amour désintéressé, une compassion sincère, une gentillesse et une patience sans limites. Rien que le fait d’écrire cela me plonge dans un état merveilleux de bien-être, comme si le simple fait de parler d’eux convoque leur présence.
J’hésite à l’évoquer, mais j’ai envie te parler de cet être que j’ai rencontré dans une grotte (une caverne immense plutôt) de l’Intraterre. Je ne suis pas sûre qu’il soit un habitant de l’Agartha, il vient sans doute d’une autre planète… la réponse n’importe pas vraiment, mais cela me permet de glisser une petite information : les intras nous ressemblent beaucoup, mais certains possèdent des caractéristiques communes. Grande taille, peau mordorée, cheveux plutôt longs même pour les hommes, grands yeux en amande, silhouette fine et musclée. C’est du moins l’image que j’en ai eu.
Cependant, l’être dont je veux te parler est très différent. Sa peau est d’un blanc nacré légèrement brillant, il a des yeux de la même couleur, bien qu’un peu plus translucides avec une grosse pupille au milieu, comme une bille noire. Il possède une corne blanche et scintillante de chaque côté de la tête, qui partent horizontalement et remontent vers le haut, un peu comme un taureau. Son visage fin ressemble à celui d’une biche, tout en ayant des expressions tout à fait humaines (sourire, regard, expressions…). Pour ce qui est de son corps, j’avoue que j’ai du mal à le voir, car il est dissimulé dans une sorte de large et longue robe de la même couleur que sa peau, à peine plus blanche, moins nacrée, très lumineuse.
Il a des mains extrêmement longues et fines, et il ne possède que quatre doigts (c’est largement suffisant, m’informe-t-il d’un clin d’œil). Pour ce qui est de ses orteils, je ne peux pas en dire le nombre, puisqu’ils sont cachés derrière des sortes de chaussures ovales très jolies, comme incrustées de minuscules pierres précieuses colorées, avec toujours cette dominance de blanc nacré pour la matière. Je ne crois pas avoir entendu le son de sa voix : on communique par télépathie (plus rapide, plus efficace, moins d’interférences). Je l’entends quand même dans ma tête me diriez-vous… oui et non, pas exactement. Ce n’est pas comme un son que l’on peut entendre avec ses oreilles. Ce n’est pas vraiment un son en réalité, c’est plutôt comme une information qui vient se graver directement dans ma tête et arrive dans une vague de vibrations.
Voici Thereï, du moins, voici le portrait que j’en fais. Pardonne-moi Thereï si j’ai mal compris ton prénom, mais il faut savoir que j’aime démesurément mettre des mots, des noms sur des visages…
Quand je l’ai rencontré, il n’était pas seul : il y avait également une femme. Une femme tellement belle ! Des yeux plutôt petits et foncés, une bouche étroite et colorée, de longs cheveux châtains coiffés d’un voile bleu, une peau très blanche, lumineuse, lisse mais expressive, parfaite comme une poupée de porcelaine. Concernant son prénom, je suis certaine de ne pas me tromper : il s’agit de Marie. Vêtue de bleu et de blanc, elle ne m’a pas beaucoup parlé (dans ma tête), mais elle m’a accompagnée, pour me rassurer de sa présence, pour être juste là quoi. Et je t’assure que se retrouver en compagnie de Marie, c’est quelque chose ! En fait, ce n’est pas non plus un tourbillon d’émotions, d’excitation, c’est juste bien. Tranquille, posé, calme, apaisant. Marie est d’une gentillesse telle qu’il est très difficile de se l’imaginer. Sans jugement, dénuée de colère, elle est un concentré de bienveillance et d’amour.
Comme pour Thereï, je ne pense pas que Marie demeure en Agartha… disons qu’ils étaient de passage, pour combien de temps je ne sais pas, mais ça ne doit pas être très difficile pour des êtres si évolués de se rendre vite et sans fatigue d’un bout à l’autre de la galaxie, de l’univers qui sait (si tant est qu’il ait des bords) ?
Rhooooo que de belles rencontres ! Moi, j’aimerais bien savoir ce qu’à bien pu de télépater Thereï… T’as t-il appris des choses sue l’univers, la vie, les raisons de notre existence ? Et Marie, qu’elle chance pour une Marie de la rencontrer ! Tu l’as décris telle que je l’imagine, une mère universelle. Merci d’avoir partagé de si belles expériences avec nous…
Avec grand plaisir !!!!